City Hunter est de retour dans de nouvelles aventures. La série culte de Tsukasa Hojo revit grâce à Sokura Nishiki dans un rebirth très réussi !
Si vous êtes un.e quadra-trentenaire Nicky Larson vous dit forcément quelque chose. Série animée du Club Dorothée, elle a bercé quelques un.e.s d’entre nous. Fondés sur le manga City Hunter de Tsukasa Hojo, le dessin animé était très sympa et toujours mouvementé.
Dans ce rebirth de Sokura Nishiki, les lecteurs retrouvent Ryo Seba, le détective coureur de jupons et Kaori, son assistante.
A 40 ans, Kaori est désabusée. Célibataire, elle pense avoir raté sa vie. Elle se berce uniquement des aventures de Ryo Seba depuis toute petite. Un jour qu’elle se rend à la gare, elle est percutée par un train. Elle se réveille alors dans la peau d’un lycéenne dans les années 80. Elle regarde un tableau et voit arriver Ryo. Elle s’évanouit et se réveille chez lui…
Drôle, rythmé et toujours aussi décalé, ce nouveau City Hunter plaît. On retrouve tous les ingrédients de la série-mère. Cette nouvelle mouture a été validé par le maître mangaka Tsukasa Hojo, lui-même. On regrettera juste un brin de rigidité dans les postures de personnages de Sokura Nishiki. Sinon tout est parfait !
Les autres chroniques Comixtrip sur les oeuvres de Tsukasa Hojo :
- Le temps des cerisiers
- Sous un rayon de soleil
- Le cadeau de l’ange
- Rash!!
- Le top 9 des mangas de Tsukasa Hojo
- City Hunter Rebirth, volume 1
- Auteur : Sokura Nishiki d’après Tsukasa Hojo
- Editeur : Ki oon, collection Shonen
- Prix : 7.90€
- Parution : 07 février 2019
- IBAN : 9791032703823
Résumé de l’éditeur : Kaori est une inconditionnelle de City Hunter. Son fantasme est de vivre de grandes aventures aux côtés de son idole, Ryo Saeba. Mais, célibataire à 40 ans et prisonnière d’un boulot ennuyeux, elle commence à perdre ses illusions de jeunesse… Son quotidien morne bascule le jour où, percutée par un train à pleine vitesse, elle se réveille dans la peau d’une lycéenne dans le Shinjuku des années 80 ! Désorientée et à bout de nerfs, elle tente le tout pour le tout et trace le fameux XYZ sur le panneau de la gare…