Top 5 des BD sur la liberté d’expression

Comixtrip vous propose une sélection des meilleures bandes dessinées sur le thème de la liberté d’expression. De Revue de presse à Canard enchainé 100 ans, en passant par Nightfall ou Une histoire populaire de l’empire américain, découvrez notre sélection d’albums valant le détour.

Forcément subjectif, notre Top 5 des meilleures BD sur le thème de la liberté d’expression peut prêter à discussion. Si vous avez des coups de cœur dans ce domaine, n’hésitez pas à nous en faire part en nous présentant vos albums dans la rubrique commentaires.

1.

Revue de presse

de Romain Dutreix et Toma Bletner (Fluide Glacial)

Romain Dutreix et Toma Bletner publient chez Fluide Glacial  un album qui retrace sous forme de strips 300 ans d’histoire des journaux satiriques et non-conformistes. Une revue de presse plutôt rafraîchissante.

2.

Nightfall, volume 1 : La nuit

de Fred Fordham (Delcourt)

Londres. Dans un futur proche, où la liberté d’expression a été bannie et les étrangers chassés, Donnie, un garçon influençable, pose une bombe dans le Bureau du Contrôle des Frontières. Pris de remords, il se rue pour la désamorcer, en vain. Touché par la déflagration, il plonge dans le coma et se réveille dans l’univers parallèle d’Asante, sans se douter des répercussions de ses actes sur le monde réel…

 

 

3.

Charb (Charlie Hebdo 1992-2015)

de Charb (Les échappés)

Les éditions Les Echappés rendent hommage à Charb à travers une anthologie de ses dessins publiés dans Charlie hebdo entre 1992 et 2015. Indispensable.

 

 

4.

Canard enchainé 100 ans

de Patrick Rambaud et Laurent Martin (Seuil)

Voilà un siècle que l’hebdomadaire satirique brocarde les puissants de ce monde à travers ses articles et ses dessins. Un beau livre lui rend hommage.

5.

V pour Vendetta, intégrale

de Alan Moore et David Llyod (Urban Comics)

1997, une Angleterre qui aurait pu exister… Dirigée par un gouvernement fasciste, le pays a sombré dans la paranoïa et la surveillance à outrance. Les « ennemis politiques » sont invariablement envoyés dans des camps et la terreur et l’apathie règnent en maître. Mais un homme a décidé de se dresser contre l’oppression. Dissimulé derrière un masque au sourire énigmatique, il répond au nom de V : V pour Vérité, V pour Valeurs… V pour Vendetta !

Article posté le lundi 31 juillet 2017 par Comixtrip

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