La mort n’est qu’une ombre est le premier volume de Becky Stillborn est la nouvelle série d’Arnaud Michel, éditée par Filidalo.
1876, le sud de l’Angleterre est en proie à de nombreux meurtres atroces. Le dernier en question est celui de l’oncle de Lady Stillborn (Becky). Mais pourquoi lui ?
Courageuse, effrontée, elle va vouloir mener l’enquête mais l’inspecteur Jack Black, un homme bourru, n’a pas très envie qu’une femme se mêle de cette affaire. Pourtant malgré ses réticences et un peu contre sa volonté, il va partir à la recherche du ou des coupables avec elle.
Arnaud Michel nous propose un triptyque qui rentre tout de suite dans le vif du sujet avec le meurtre du riche M. Stillborn. L’histoire est menée tambour battant et le fort caractère des deux protagonistes alimente grandement l’intensité du récit. L’auteur a parfaitement compris comment tirer toutes les ficèles nécessaires pour tenir le lecteur en haleine.
Becky Stillborn : Un soupçon de magie ou de sorcellerie (à découvrir dans les prochains tomes), une bonne dose d’enquête, un graphisme dynamique, une intrigue menée avec intelligence voilà ce que nous propose l’auteur.
Je dis tout simplement OUI et j’ai vraiment hâte de découvrir la suite pour voir jusqu’où ce duo d’enquêteur va nous mener et surtout quels sont les secrets de cette Lady…
- Becky Stillborn, tome 1/3 : La mort n’est qu’une ombre
- Auteur : Arnaud Michel
- Éditeur : Filidalo
- Prix : 14,90 €
- Parution : 12 mars 2021
- ISBN : 9782375080160
Résumé de l’éditeur : 1876 : Une vague d’assassinats – tous aussi sanglants qu’inexpliqués – frappe le Sud de l’Angleterre. Endeuillée par ce fléau macabre, la jeune Becky Stillborn brûle de prendre part aux investigations mais doit composer avec le ténébreux Jack Black, inspecteur chargé de l’enquête. Un homme peu enclin à collaborer et visiblement rongé par des démons personnels. Mais à chacun sa part d’ombre, n’est-ce pas, surtout lorsqu’il est question de vie ou de mort. Impossible de la changer, on peut juste l’éclairer. Et ce n’est pas la belle et opiniâtre Becky – elle-même en proie à ses propres fantômes – qui prétendra le contraire. Oui, la règle est la règle… Et la règle fait le jeu.
À propos de l'auteur de cet article
Yoann Debiais
Yoann Debiais est un amoureux de la bande dessinée depuis de nombreuses années. Le temps et les rencontres lui ont permis de s'ouvrir à des lectures plus humaines et plus profondes. Il partage sa passion sur Instagram sous le compte @livressedesbulles. N'hésitez pas à découvrir son univers fait de partages.
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