La princesse vagabonde #3

Notre avis :  Premier titre proposé par la nouvelle entité éditoriale Urban China, La princesse vagabonde (avec Little Yu) poursuit son agréable chemin grâce à une histoire concoctée par Xia Da. Pour ce troisième volume du manhua, l’auteure chinoise amène Li Changge dans un piège classique tendu par Sun, général des Turcs occidentaux. Alors qu’elle avait réussi à les éloigner de la cité impériale tenue par Li Shimin grâce à un sens inné de la stratégie militaire, elle est faite prisonnière par les chefs des Turcs, lui demandant de se mettre à son service, la jeune fille accepte de force. Dans le camp, elle rencontre Mimi Guli, une ouïgoure prisonnière. Cette dernière la soigne, ne découvrant que par la suite que Changge n’est pas un homme.

Quête d’identité, combats et stratégie sont les éléments fondateurs de ce manhua. Plutôt maîtrisée la narration de Xia Da a pour toile de fond la Chine du VIIe siècle, avec ses guerres de clans  mais aussi les conflits inter-ethniques. Les planches de la mangaka sont d’une belle richesse graphique.

  • La princesse vagabonde, volume 3
  • Auteure : Xia Da
  • Editeur: Urban China
  • Prix: 12€
  • Parution: 09 octobre 2015

Résumé de l’éditeur : La dynastie Tang a tenu bon face à la percée des Turcs, mais la province de Shuo demeure entre les mains du redoutable Ashina. Pour sortir de cette situation critique et éviter un massacre, la princesse Yongning n’a qu’un seul choix : sacrifier sa liberté. Passant de fugitive à prisonnière, elle aura besoin de toute sa ruse pour rester en vie.

Woody Guthrie

Notre avis : Passés maîtres des biographies de musiciens, Franz Duchazeau (BlackFace Banjo ou Le rêve de Meteor Slim, chez Sarbacane) ou encore Michel Pirus et Jean-Michel Dupont (Love in vain, Glénat), il est délicat de faire mieux dans le monde de la bande dessinée. Pourtant, Nick Hayes réussit son pari de conter le destin original de Woody Guthrie, auteur-compositeur-interprète américain des années 30. Pour décliner sa vie, l’auteur propose un imposant roman graphique de 272 pages; de son adolescence dans une famille très pauvre passée à Dust Bowl jusqu’à son arrivée à New-York. Le lecteur suit son long périple vers la gloire mais l’album ne met en scène que le jeune homme avant cette période faste; l’homme avant la star dans les années 60.

Ce parcours chaotique et sinueux est plutôt bien écrit, parfois avec quelques longueurs qui peuvent perdre le lecteur. La très belle partie graphique en bichromie noire et marron est elle extrêmement aboutie. Le format à l’italienne se prête idéalement aux cases en longueur et en panorama de Nick Yates.

  • Woody Guthrie et les Dust Bowl Ballads
  • Auteur : Nick Hayes
  • Editeur: Marabout, collection Marabulles
  • Prix: 25€
  • Parution: 10 octobre 2015

Résumé de l’éditeur : Icône du mouvement folk des années 1960, Woody Guthrie est né en 1912 en Oklahoma. C’est une figure emblématique de la musique populaire américaine. Après une enfance marquée par d’innombrables tragédies, Woody doit, dès l’adolescence, vivre de ses talents de musicien, en jouant dans la rue. Chassé par la misère, il s’installe en Californie au début des années 30 où il acquiert son statut de chanteur contestataire en s’opposant aux milices des entreprises fruitières de l’État.
Sa réputation d’agitateur lui vaut nombre de démêlés avec la police et la justice. Dans cet esprit, il compose une ballade en l’honneur de Tom Joad, le héros des raisins de la colère de John Steinbeck dont il partage les combats. Dust Bowl Ballads, enregistré à New York en 1940 est son plus célèbre album. A cette époque, il emménage à New York où il s’impose comme le plus fameux « Protest Singer »de Greenwich Village.
Il décède le 3 octobre 1967, vaincu par la maladie de Huntington. Son folklore protestataire a exercé une influence majeure sur des artistes comme Bob Dylan, Joan Baez ou Bruce Springsteen.
Ce magnifique album est une biographie romancée de la vie de Woody Guthrie, un homme engagé, un poète, mais surtout le plus grand songwriter de tous les temps.

L’ombre de Shanghai #3

Notre avis : Prévue en 6 volumes, la série L’ombre de Shanghai est au mitan de son parcours. Intitulée Un allié redoutable, l’histoire de ce manhua imaginée par Williams Crépin et Patrick Marty, continue de suivre les pas de Lila et la famille française Cartier à Shanghai au 19e siècle. Alors que la grande cité chinoise se développe, elle est administrée par l’Etat français qui en possède la concession.

Pour ce troisième volet, les deux scénaristes proposent un récit dans la continuité du précédent ouvrage et notamment la mystérieux Ombre, justicière des temps modernes. Si les habitants ignorant tout de son identité, le lecteur sait que c’est Lila qui se transforme en cette femme adepte des arts martiaux. Le seul souci est que la frêle chinoise ne peut contrôler ce changement de personnalité. D’ailleurs lors d’une de ses sorties nocturnes, Ombre est blessé par police et est recueillie par son grand-père Feng qui la soigne et lui révèle le terrible de la mort de ses parents.

Alors que Patrick Marty a déjà livré de fabuleux scénarios à travers Le juge Bao (avec Chongrui Nie) ou La balade de Yaya (avec Omond, Girard et Zhao), l’histoire qu’il propose avec Williams Crépin  est moins accrocheuse. Partie sur d’excellentes bases lors du premier volet, l’intrigue depuis la précédente publication plait moins. Même l’apport du fantastique (transformation) ne permet pas de capter l’attention du lecteur.

Reste la belle partie graphique proposée par Li Lu qui livre des planches très rythmées composées de grandes cases (3 à 6 vignettes) qui lui permettent de restituer aux mieux les émotions des personnages.

  • L’ombre de Shanghai, volume 3/6 : Une alliée redoutable
  • Scénaristes : Patrick Marty et Williams Crépin
  • Dessinatrice : Li Lu
  • Editeur: Fei
  • Prix: 12.90€
  • Parution: 09 octobre 2015

Résumé de l’éditeur : Gaspard se remet miraculeusement de ses blessures quand l’ombre se manifeste à nouveau dans la maison des Cartier. Elle échappe in extremis aux hommes du commissaire Leclaire qui jure d’avoir sa peau. Celle que tout Shanghai qualifie désormais de « monstre », envahit la vie de Lila qui ne parvient à la maîtriser qu’au prix d’immenses efforts et de gros dégâts. Feng, qui révèle enfin à sa fille adoptive ses origines, en est la première victime.Y survivra-t-il ?

Les p’tits diables #20

Notre avis : Porte-drapeau des Clubs Mickey sur les plages, héros de la série télévisée diffusée par M6 et Canal+ Family, Les p’tits diables tracent leur chemin dans le petit monde de la bande dessinée jeunesse (l’un des plus gros succès dans ce genre).

L’univers imaginé par Dutto plait beaucoup aux jeunes lecteurs. Il faut souligner que les chamailleries et autres inimitiés entre frère et sœur parlent à de nombreux  enfants. Entre coups bas, farces, mensonges et vocabulaire fleuri, Nina et Tom se font les pires vacheries.

Fonctionnant sur un schéma narratif du gag en une planche, l’album est plutôt réussi. Les scènes avec la neige, la vaisselle, avec Grippy leur chat, mais aussi avec leur ami Kafard (qui envoie une lettre enflammée à Nina) ou encore Maëlle (l’amoureuse de Tom) atteignent plutôt leur but.

  • Les p’tits diables, tome 20 : L’abominable sœur des neiges !
  • Auteur : Dutto
  • Editeur: Soleil, collection Jeunesse
  • Parution: 04 novembre 2015
  • Prix: 10.50€

Résumé de l’éditeur : Nina, la célébrissime pire des pires soeur et son non moins fameux frère Tom sont de retour pour un album tout en quiétude, paix et amour. Vous ne me croyez pas ???! Bon, vous avez raison, planquez vos vases, vos livres, vos meubles, votre chat, Tom et Nina sont à nouveau là et ça va bouger car ils ne reculent devant aucun stratagème pour se jouer les plus mauvais tours !

Boulard #4

Notre avis : Boulard est le cancre le plus célèbre de la série Les profs (Pica, Erroc, Bamboo). Depuis 4 volumes, il a le droit à ses propres aventures, sous forme de gags en une planche. Si la série-mère connait un succès éditorial (des millions d’exemplaires vendus, des objets dérivés et déjà 2 films), pour l’instant Boulard ne connait pas le même intérêt. Le jeune adolescent (dont on ne connait pas le véritable âge), redouble de nombreuses fois son année de terminale, puisqu’il n’a pas le niveau. La série suit donc les pas du jeune homme dans sa vie quotidienne (foyer familial) mais aussi au lycée Jean-Claude Van Damme. Le lecteur retrouve donc quelques professeurs connus mais aussi ses parents et amis.

Si les gags ne sont pas très originaux et tombent souvent à plat, la partie graphique de Mauricet est le seul point positif de la série. Celui qui aide Pica sur Les Profs suit parfaitement les pas de son illustre aîné.

  • Boulard, tome 4 : En mode surdoué
  • Scénariste : Erroc
  • Dessinateur : Mauricet
  • Editeur: Bamboo
  • Parution: 04 novembre 2015
  • Prix: 10.60€

Résumé de l’éditeur : Attention, voici Thierry Boulard, le champion du monde des notes catastrophiques et des ronflements au fond de la classe. Médaille d’or de cancritude, il a aussi une vie trépidante en dehors du lycée, faite de plans drague foireux, d’engueulades avec le petit frère, de répètes avec son groupe de rock et de séances de glande sur le canapé. Alors n’hésitez pas : venez suivre les aventures du plus mou et du plus cool des rebelles !

Hedge fund #3

Notre avis : Clap de fin sur la série Hedge Fund, le thriller financier, scénarisé par Tristan Roulot et Philippe Sabbah. Solidement documentée, la série suit l’ascension fulgurante de Franl Carvale, ex-agent d’assurance devenu trader à Hong-Kong. Il a alors une réussite insolente, multiplie l’argent comme des petits pains; tout lui sourit, jusqu’à la crise des subprimes.

Dans ce dernier volet, le financier Ergyu Bilkaer l’utilise comme un pion dans son plan machiavélique pour faire tomber les états un à un. De plus, le jeune trader est emprisonné pour une peine de 100 ans à cause de malversations et son pire ennemi Dony Di Duca, ruiné par lui, veut se venger et l’éliminer.

Réaliste et plutôt crédible, le récit est co-scénarisé par Philippe Sabbah qui exerce dans le domaine de la banque. C’est à la fois sa grande force mais aussi son point faible (le vocabulaire et le système bancaire sont très bien maîtrisés mais le lecteur croule sous un flot d’information). Le lecteur découvre la froideur de ce milieu, ses arcanes nébuleuses, se personnages prêts à tout pour faire tomber l’autre, une finance sans visage et parfois incarnée par les pires crapules ultra-libérales.

Le trait réaliste de Patrick Hénaff lui permet de restituer l’ambiance du récit, sans révolutionner le genre.

 

  • Hedge fund, tome 3/3 : Ma stratégie du Chaos
  • Scénaristes : Tristan Roulot et Philippe Sabbah
  • Dessinateur : Patrick Hénaff
  • Editeur: Le Lombard
  • Parution: 30 octobre 2015
  • Prix: 12€

Résumé de l’éditeur : Manipulé par Bilkaer, Franck Carvale est devenu le bouc émissaire de la crise des subprimes. Lourdement condamné, il croupit aujourd’hui en prison. L’heure sera bientôt à la vengeance. Ou à la rédemption ?

Freaks’ squeele #7

Notre avis : Freaks’ squeele est sans conteste l’une des meilleures séries d’héroic-fanstasy de ces 10 dernières années. Depuis la sortie du premier volume, l’univers déjanté et très précis, imaginé par Florent Maudoux, est un véritable succès éditorial et critique. Véritable phénomène, il connaîtra même des déclinaisons parallèles, l’une en couleurs et des spin-off : Rouge (dessins de Sourya), Funérailles et Masiko.

A move and Z movie est le septième volume refermant ainsi la très belle parenthèse Freaks’ squeele. Et le moins que l’on puisse dire c’est que ce chapitre final est extrêmement réussi et explosif. Comme à son habitude, en plus des personnages et des combats, l’auteur distille çà et là de nombreux clins d’œil et hommages à la télévision, la publicité, le cinéma, la chanson, la culture geek, les comics, la bande dessinée et les dessins animés.

Pour ce septième opus, Chance, Ombre et Xiong Mao ainsi que leurs camarades tentent le tout pour le tout afin de protéger le campus abritant la FEAH (l’école de super-héros située à Saint-Ange).

Freaks’ squeele : plus qu’une série et un univers, de l’heroic-fantasy de haut-vol !

  • Freaks’ squeele, tome 7/7 : A move & Z Movie
  • Auteur : Florent Maudoux 
  • Editeur: Ankama
  • Parution: 30 octobre 2015
  • Prix: 15.90€

Résumé de l’éditeur : En avant pour le dernier round opposant les étudiants de la fac d’un côté et les gardiens de la tradition des super-héros de l’autre ! Le campus est encerclé par un mur qui le coupe du reste du monde. Coincée entre les deux camps, la trinité de la Mort ne peut pas ouvertement soutenir la jeune génération. Entre guerre médiatique et émeutes urbaines, le combat parait bien inégal. Dans ce chapitre final Chance, Xiong Mao et Ombre vont avoir affaire à un ennemi surpuissant qui n’hésitera pas à faire usage d’une arme de destruction massive que redoutent tous les héros du monde entier : l oubli.

Game over #13

Notre avis : Le double virtuel de Kid Paddle continue ses folles aventures dans Game Over, l’univers geek et de jeux vidéo imaginé par Midam. Depuis quelques tomes, l’auteur belge s’est adjoint les services de Patelin aux dessins et Adam aux scénarios.

Ciblée jeunes lecteurs, la série se décline en gag en une planche dans la veine des albums franco-belges. Comme pour chaque volume, les pages sont muettes (ce qui permet à la série d’être universelle) et le personnage principal doit affronter de nombreuses créatures et/ou de délivrer la princesse. S’il est de bonne volonté, vaillant et brave, le petit barbare accumule les désillusions, multipliant par 1000 la malchance. Cela fonctionne plutôt bien même si l’exercice de se renouveler est difficile et ne fait pas toujours mouche.

  • Game over, tome 13 : Toxic affair
  • Scénariste : Midam et Adam
  • Dessinateurs : Midam et Patelin
  • Editeur: Glénat
  • Parution: 21 octobre 2015
  • Prix: 10.90€

Résumé de l’éditeur : Une princesse à sauver ? Des blorks à zigouiller ? Des pièges à désamorcer ?… Ne comptez pas sur lui ! Car au cours de ses multiples péripéties vidéo-ludiques, le Petit Barbare a déjà fini : transpercé, dévoré, découpé en tranches, brûlé, noyé, désintégré, écrabouillé… et il en redemande ! Oui, le double virtuel de Kid Paddle n’en a toujours pas assez des Game Over et revient en 2015 pour de nouvelles aventures imprévisibles et déjantées !

Lili Pirouli, en avant toute

Notre avis : Lili Pirouli est un petite fille amusante et espiègle. A travers des petites saynètes courant sur 4 planches, Nancy Guilbert lui fait vivre de drôles d’aventures. Les petits riens du quotidien se transforment souvent en moments décalés, à la folie-douce. Avec une répartie et des dialogues savoureux, la petite fille apporte de la fraîcheur, de la vie et beaucoup d’amusement pour ses jeunes lecteurs. Entre des chaussures à acheter au visionnage d’un film de zombies, en passant par les bavardages en classe ou encore la visite chez le médecin, tout devient fou-rire grâce à Lili Pirouli.

Grâce à un trait tout en rondeur, Armelle Modéré peut livrer des planches lisibles, faites de grandes cases (2 à 4 vignettes) sans cadre, idéales pour le plus-petits.  Avec Lili Pirouli, en avant toute !

  • Lili Pirouli, tome 3 : En avant toute !
  • Scénariste : Nancy Guilbert
  • Dessinatrice : Armelle Modéré
  • Editeur: Des ronds dans l’ô
  • Parution: 15 octobre 2015
  • Prix: 11.90€

Résumé de l’éditeur : Lili Pirouli, très à l’aise sur l’estrade pour le spectacle de danse, l’est beaucoup moins quand on lui parle de zombie, surtout quand les garçons la traitent de froussarde. Mais ce qu’elle va trouver pour leur faire peur à son tour va s’avérer très efficace !

New rodeo girls

Notre avis : Publié jusqu’à présent uniquement dans des revues Geisha, Pamela et Yéti, New Rodeo Girls connaît enfin une édition album. Nicky dévoile des mini-récits dans un Far-West fantasmé et plus particulièrement dans un pensionnat de jeunes filles. Dans ce lieu, les sévices corporels sont légion et l’éducation à l’anglaise très stricte.

Cet établissement singulier met en scène des aventures lesbiennes, avec des moments soft mais aussi plus hard. Graphiquement c’est très réussi ! Les pages proposées par Nicky rendent un hommage à la fois aux grands maîtres de la bande dessinée franco-belge (Jacobs, Jijé ou Hubinon) mais surtout aux maîtres mangakas (Tezuka).

  • New Rodeo Girls
  • Auteur : Nicky
  • Editeur: Dynamite
  • Parution: 22 octobre 2015
  • Prix: 13.80€

Résumé de l’éditeur :  Après avoir ravi les érotomanes de la ligne claire (dans Royal Gentlemen Club, son chef-d’oeuvre) et les obsédés des Trente Glorieuses (dans Rocking Girls), Nicky explore ici les dessous chics et surprenants d’un Far West lesbien et d’un pensionnat de jeunes filles, avec le même dévouement fréntique et la même irrésistible ferveur. New Rodeo Girls (Au nom de la loi) s’attache suivre les exploits et relations saphiques du lieutenant Marilyn Strangelove. Les vilaines filles qu’elle croise n’ont qu’ bien se tenir, qu’elles soient cowgirls en goguette ou Cheyennes sur le pied de guerre, Strangelove  » gouine  » aussi bien avec la langue qu’avec les poings. Une série en cinq épisodes et complètement l’Ouest !

Facéties de chats

Notre avis : 15 belles petites histoires loufoques et décalées autour des chats proposées par Sébastien Perez. A la fois attachants et attendrissants, les félins sont comme leurs maîtres : amusés, grognons, casse-cou, joueurs ou même gardiens d’enfants. Toujours à l’affût, le lecteur sourit à toutes les pitreries de Kirlee, Mozart, Samuel, Hubert et Gaston.

Facéties de chats est idéal pour les amoureux des chats. Cet album est vraiment fait pour eux ! A travers leurs comportements, le lecteur se délecte de la folie de ces félins filous. Pour brosser leur portrait, l’auteur s’essaie à de petits poèmes, très bien écrits. Pour l’aider dans sa tâche, il a fait appel à Benjamin Lacombe. Le style inimitable et original de l’auteur de Marie-Antoinette, carnet de reine (Soleil) égaye les pages de ce bel ouvrage.

  • Facéties de chats
  • Textes : Sébastien Perez
  • Dessinateur : Benjamin Lacombe
  • Editeur: Margot
  • Parution: 23 octobre 2015
  • Prix: 14.90€

Résumé de l’éditeur : Le chat… Quel animal mystérieux que celui-là !
Vous êtes-vous déjà demandé quelles pensées secrètes fleurissent derrière leurs yeux envoûtants ? Quelles idées farfelues leur passent par la tête ? Ou bien s’ils vivent des aventures extra- ordinaires lorsque vous avez le dos tourné ? Eux seuls le savent mais voici imaginées ici pour vous quinze facétieus

ARTtitude #3

Notre avis : Troisième numéro pour ARTtitude, collection dédiée aux arts urbains et à la pop culture. Se définissant comme « à la fois cahier des tendances Who’s who, abondamment illustré de reproductions ou images d’oeuvres des créateurs répertoriés », ARTtitude poursuit son exploration de la création graphique d’aujourd’hui en allant à la rencontre dans le monde entier d’artistes issus de l’illustration, du street art, de la photographie, de la peinture, de la customisation d’objets ou du dessin.

Au sommaire de ce troisième numéro: Alain Bertrand, Alexandre Goulet, Butcher Billy, Cédric Lascours (Reso), Ceet, Dan23, Davi Augusto, Deuz, Eric Lacan, Evelina Dymek, Franck Pellegrino, Fred Menace, Goddog, Issa, Jardin Rouge, Jérôme Clément, Justin Kamerer, Kym, Laurie Greasley, Mehdi Nédellec, Momo, Myriam Catrin, Nicolas Brulez, Paul Ainsworth, Ripo, Sandra Chevrier, Sandra Massa, Simon Delart, Simon Hennessey, The Dark inker Stephen Sampson, Tizieu, Tsuchinoko, Yome VMD.

A l’arrivée, l’ouvrage dresse un pertinent portrait de la création du moment. Vivement le tome 4!

  • ARTtitude #3
  • Auteur : Frédéric Claquin
  • Editeur : Eyrolles
  • Prix : 29,90€
  • Parution : 9 octobre 2015

Résumé de l’éditeur : Arttitude est une collection dédiée aux arts graphiques contemporains. Véritable cahier de tendance regroupant des artistes issus de l’illustration, du Street art, de la photo, de la peinture, de la customisation d’objets ou du dessin, cet ouvrage révèle toute la richesse et la diversité de la création graphique actuelle, et met en valeur les artistes les plus emblématiques et insolites du moment.